Disney’s Animal Kingdom : l’appel de la nature
Quand on évoque les parcs Disney, la première image qui vient en tête c’est celle d’un grand château, entouré d’attractions.
Pourtant, aux quatre coins du monde, Disney a créé des complexes atypiques comme Epcot à Walt Disney World. À Disney’s Animal Kingdom, ce sont les animaux qui sont les rois. Le 2 octobre 2022, nous avons arpenté les allées de ce parc à thèmes animalier qui nous a permis d’aller à la rencontre d’une multitude d’animaux et de découvrir des attractions, pour certaines, surprenantes.
Le plan du parc
Disney’s Animal Kingdom se situe en bordure du complexe Walt Disney World. Il n’est pas accessible via le Skyliner. Plusieurs lignes de bus, internes à la destination, permettent aux résidents des hôtels Disney de s’y rendre directement.
Le parc est divisé en six quartiers thématiques : Oasis, Discovery Island, Pandora – The World of Avatar, Africa, Asia et Dinoland U.S.A.. Chaque land plonge les visiteurs dans une histoire qui lui est propre. En revanche, il n’existe pas de fil rouge, à l’échelle de la destination, qui permettrait de relier ces différents storytelling.
D’une superficie totale de 230 hectares, Disney’s Animal Kingdom est le plus grand parc Disney jamais construit. Bien sur, plusieurs espaces sont dédiés aux animaux et ne sont pas ouverts aux visiteurs. À titre de comparaison, le complexe Disneyland Paris est presque 3 fois plus petit.
Une séquence d’entrée originale
Comme nous logions aux Disney’s Pop Century Resort, un des hôtels du complexe Walt Disney World, nous avons pu entrer à Disney’s Animal Kingdom dès 8h30, une demi-heure avant l’ouverture au public.
Aussitôt arrivés dans le parc nous traversons l’Oasis Exhibits, l’attraction principale du land Oasis. Le parc ne dispose pas d’une rue principale remplie de boutiques, à l’image de Main Street U.S.A.. Nous nous enfonçons dans une végétation tropicale composée de cascades d’eaux, d’immenses arbres et plantes exotiques.
Cette zone d’entrée doit nous permettre de rencontrer plusieurs animaux tropicaux : des babirusa (sorte de phacochères), des fourmiliers géants, des wallabies des marais, des aras écarlates, des aras hyacinthes, des aras militaires, des ibis blancs… Malheureusement, à cette heure matinale, bon nombre d’animaux sont encore endormis et se cachent.
Après quelques minutes de marche nous arrivons au Discovery Island, où se trouve le Tree of Life. Depuis cette île, qui fait office de hub central, plusieurs routes permettent aux visiteurs d’accéder aux différentes zones thématiques de la destination.
Plusieurs expériences sont proposées dans cette zone :
- It’s Tough to be a Bug, un cinéma en relief hébergé dans les racines du Tree of Life. Dans ce film Tilt, du film Pixar « 1001 pattes », explique aux visiteurs pourquoi les insectes ne doivent pas être considérés comme des nuisibles.
- Discovery Island Trails, un parcours pédestre autour de l’arbre de vie, parsemé de plateformes d’observation permettant de voir à la rencontre d’animaux sauvages comme des cigognes blanches, des loutres, des flamants nains, des kangourous roux…
- Adventurers Outpost, où il est possible de rencontrer Mickey et Minnie dans leur costume d’explorateur.
Faute de temps, nous n’avons pas pu profiter de ces activités.
Le saviez-vous ? D’une hauteur de 44 mètres, le Tree of Life est un arbre artificiel. On retrouve, sur son tronc et ses racines, 325 sculptures d’espèces animales existantes et éteintes.
Un safari au coeur de la savane africaine
Enfin, nous nous dirigeons vers le land Africa et plus précisément le petit village fictif d’Harambe pour prendre part à une des attractions emblématiques du parc : Kilimanjaro Safari.
À bord d’un véhicule, qui peut embarquer jusqu’à 32 personnes, nous partons pour notre premier safari à travers la Harambe Wildlife Reserve. Disney a recréé, sur plus 44 hectares, une savane africaine où il est possible d’observer des animaux de grande taille en semi-liberté.
Cette excursion nous fait traverser cinq zones : la Forêt Ituri, la Rivière Safi, la Savane Ouest, le Bassin des Flamants de savane et la Savane Est.
La visite est commentée, en direct, par un guide qui nous montre l’emplacement des différents animaux et nous donne quelques informations sur ces derniers. Pour profiter un maximum de cette expérience, il est nécessaire de comprendre l’anglais. Après si, comme moi, vous n’êtes pas à l’aise avec la langue de Shakespeare, vous pouvez toujours profiter des paysages et des bêtes pendant cette expédition qui dure près d’une quarantaine de minutes.
Tout au long du parcours, plus de 30 espèces peuvent être observées : des éléphants, des gazelles, des gnous, des lions, des girafes, des hippopotames et aussi des rhinocéros.
Avoir des animaux en semi-liberté, dans de vastes espaces, rend cette expérience vivante. Chaque visite est différente car les différentes bêtes ne sont pas visibles aux mêmes endroits. J’aime que les animaux aient un immense terrain de jeu pour évoluer, même si cela rend la contemplation plus difficile. D’ailleurs, nous avons eu quelques difficultés à voir les lions du fait de l’heure matinale.
Nous avons fait le choix de faire cette attraction dès l’ouverture du parc car, très rapidement, elle affiche des temps d’attente très élevés. En effet, le jour de notre visite, à partir de midi il fallait attendre plus de 100 minutes pour prendre part à ce safari. Toutefois, avec du recul, je pense qu’il vaut mieux commencer sa visite par d’autres attractions très prisées, comme celles du land Pandora – The World Of Avatar, et faire ce safari en fin de matinée ou en début d’après-midi pour avoir la chance d’observer un maximum d’animaux en pleine activité.
Notre safari terminé, nous partons arpenter les allées d’Harambe. Ce village fictif est inspiré des villages de pêcheurs des côtes d’Afrique de l’Est, anciennement colonisés par les Portugais. Le fort est une des traces de ce passé colonial. Les imagineers ont fait de ce lieu un café, symbole de la réappropriation de cet espace par la population locale.
Nous nous dirigeons ensuite vers Gorilla Falls Exploration Trail. Cette expérience nous fait traverser une partie de la Forêt Pangani où il est possible d’observer des animaux de la savane mais aussi des gorilles des plaines de l’ouest qui évoluent sur une grande colline herbeuse.
Cette zone Africa propose d’autres expériences que nous n’avons pas eu le temps de découvrir :
- Rafiki’s Planet Watch composé d’un voyage de 7 minutes en train – Wildlife Express Train – où les passagers découvrent les coulisses du parc, dont les abris des rhinocéros et ceux des éléphants. Une fois à Conservation Station, la gare d’arrivée, les visiteurs sont sensibilisés à la préservation et à la conservation des animaux.
- « Festival of the Lion King », un spectacle qui a pour thème le film d’animation du « Roi Lion », qui mélange danseurs, mascottes, animatronics et marionnettes. De prime abord, ce show avait l’air moins intéressant que « Le Roi Lion et les Rythmes de la Terre » que nous avons à Disneyland Paris. Nous l’avons laissé de côté.
À la découverte d’une terre inconnue
Nous partons maintenant en direction du land Pandora – The World Of Avatar. Bon nombre de fans de parcs à thèmes, qui ont visité cette Disney’s Animal Kingdom, sont très enthousiaste vis-à-vis de cette zone. Les cascades d’eau, dont le son résonne dans tout Pandora, donnent un côté authentique à ce décor. Ce parc tient toutes ses promesses : plus nous avançons, plus le sentiment de dépaysement se fait ressentir.
Après quelques minutes passées à contempler les décors de ce land, nous nous dirigeons vers l’une des deux attractions phares de Pandora : Avatar Flight of Passage.
Nous entrons dans la file d’attente et commençons par un parcours extérieur, qui nous fait contourner la montagne flottante. Nous traversons des ponts qui enjambent des petits cours d’eau et après quelques minutes, nous entrons dans une grotte.
Avant d’embarquer à bord de ce flying theatre, nous assistons aux deux préshows qui nous présentent l’histoire dans laquelle s’inscrit cette expérience. Ces deux espaces sont riches en informations. Le décor est, quant à lui, époustouflant si bien que nous n’avons pas vu les 80 minutes d’attente passer.
Dans la première salle, nous pouvons observer plusieurs peintures et sculptures qui rendent hommage aux Banshees, ces grands oiseaux que les Na’vis ont domptés pour se déplacer dans les airs. Nous poursuivons par la visite d’un ancien laboratoire, en partie restauré, où des expériences sont menées pour protéger la biodiversité et les ressources naturelles de Pandora.
Enfin, nous arrivons dans la salle où on découvre la raison de notre présence en ces lieux : nous allons être liés à un avatar de Na’vi afin de voler à dos de Banshee à travers la vallée de Mo’ara.
Sur le plan technique, ce flying theatre est une réussite. Le film, diffusé en 10k et 60 images par seconde, est incroyablement beau. Le ride system est original car chaque visiteur est installé, à califourchon, sur une machine qui reproduit les mouvements de la respiration des Banshee. Même si l’expérience proposée est excellente, j’avoue ne pas avoir accroché à cette attraction. Peut-être que cette ma méconnaissance de la licence Avatar a joué. En tout cas, je n’ai pas ressenti d’émotions dans Pandora : Avatar Flight of Passage, contrairement à Soarin’, le Voletarium ou encore l’Extraordinaire Voyage. Cette attraction n’en demeure pas moins un incontournable de Disney’s Animal Kingdom.
Après cette matinée au pas de course, l’heure du repas a sonné. Nous décidons de rester dans le land Pandora et optons pour le restaurant Satu’li canteen. Il ne fait pas trop chaud et l’établissement propose une terrasse couverte. Nous sommes aussi attirés par les odeurs de barbecue qui se dégagent du lieu quand nous approchons. Je prends un Combination Bowl: Smoked Chimichurri-braised Beef and Wood-grilled Chicken et en dessert une Metkayina Mousse. Un régal. Le prix de 23,5€ (taxes comprises) pour un plat non industriel, un dessert et une boisson n’est pas énorme au regard de l’offre restauration de bon nombre parc européen.
Après cette pause repas, nous enchaînons avec Na’vi River Journey, un boat ride où la magie fait immédiatement effet. Nous montons à bord d’un bateau en roseau d’Alpha Centauri Expeditions. Nous descendons la rivière Kaspavan qui traverse une forêt tropicale bioluminescente. On y rencontre différents types de créatures toutes plus surprenantes les unes que les autres. Durant cette croisière, nous rencontrons le Shaman of Songs, une Na’vi connectée à la force vitale de Pandora qui répand une énergie positive par sa chanson « Way Tiretuä » en hommage à la déesse Eywa. Cet animatronic est criant de réalisme. Ses mouvements sont d’une telle fluidité qu’on pourrait croire qu’il s’agit un acteur en costume. Je ressors de Na’vi River Journey enthousiasmé. C’est coloré, c’est poétique et il y a de l’émotion. Un boat ride de très grande qualité.
Le jurassique à la sauce Disney
Nous quittons Pandora – The World of Avatar et faisons route vers Dinoland U.S.A., un land qui met à l’honneur les dinosaures.
Si vous tombez sur des photos de cette zone, vous serez surpris par sa thématisation très disparate : d’un côté on retrouve un institut scientifique qui jouxte un site de fouilles archéologiques et, juste à côté, des manèges de fête foraine à l’aspect cheap. Les imagineers ont eu un budget contraint pour concevoir cette zone, d’où l’implantation de plusieurs flat rides. Mais les équipes, qui ont travaillé sur ce projet, ont imaginé une storyline qui justifie la présence de ce type d’attraction.
Nous nous dirigeons vers le Dino Institute qui abrite l’attraction Dinosaur. Le bâtiment semble s’inspirer du Centre des visiteurs qu’on retrouve dans le film « Jurassic Park ». Dans la file d’attente, nous découvrons des fossiles d’animaux préhistoriques ainsi qu’un imposant squelette de Carnotaurus. La visite se poursuit dans une salle où on nous explique comment la chute de météorites a entraîné l’extinction des dinosaures. Mais le clou de cette visite est une ballade à bord du Time Rover, un véhicule capable d’envoyer ses passagers à l’époque du crétacé pour observer une myriade d’animaux préhistoriques. Mais tout ne va pas se passer comme prévu. Un ancien scientifique de l’institut a reprogrammé notre véhicule et nous fait arriver dans une forêt sombre, habitée par des dinosaures tous plus féroces les uns que les autres. Le ride system de cette attraction – Enhanced Motion Vehicle – est identique à celui d’Indiana Jones Adventure qu’on peut retrouver à Disneyland en Californie et à Tokyo DisneySea. En revanche, contrairement aux attractions précédemment citées, le storytelling et les décors de Dinosaur sont plus oppressants.
Dinosaur est une belle attraction. Les décors et les animatronics qui jalonnent le parcours sont magnifiques. Niveau sensation, je le trouve en-deçà des attractions Indiana Jones. Pourtant, le parcours étant dans la pénombre et, par moments, dans l’obscurité quasi totale, les sensations devraient être décuplées. Ce n’est pas le cas. Mais Dinosaur est tout de même une belle découverte qui aurait sa place à Universal’s Islands of Adventure dans le land Jurassic Park.
Le quartier Dinoland U.S.A. compte d’autres attractions que je qualifierai d’anecdotique : Fossil Fun Games (des stands de jeux type fête foraine), Tricératops Spin (un manège) ou encore The Boneyard (une plaine de jeu où les enfants peuvent excaver des fossiles de dinosaures). Nous ne les avons pas testée lors de ce voyage.
Je formule deux regrets vis-à-vis de la visite de cette zone :
- Ne pas avoir assisté « Finding Nemo – The Musical ». C’est toujours plaisant de voir des films Disney ou Pixar prendre vie devant nos yeux. Cependant il faut faire des choix et pour cette première visite nous nous sommes concentrés sur les attractions.
- Ne pas avoir rencontré Tic et Tac dans leur costume Chipmunk-O-Saurus ! Heureusement, cette déception va être compensée par la rencontre de Kévin du film « Là-haut » que nous croisons en sortant de Dinoland U.S.A.. Ce personnage ne possède pas de meet and greet. Il est en déambulation dans le parc donc soyez prêt à sortir rapidement votre appareil photo si vous voulez remporter un souvenir de cette rencontre avec ce personnage rare.
Une attraction iconique de l’univers Disney
Le temps file à toute allure et nous allons devoir bientôt quitter Disney’s Animal Kingdom. Mais nous avons gardé le meilleur pour la fin : Expedition Everest – Legend of the Forbidden Mountain. Cette attraction est l’un des roller coasters iconiques de Disney. Son sommet enneigé, qui culmine à plus de 60 mètres de haut, est visible de loin. Plus nous avançons, plus nous nous rendons compte de la grandeur de cette attraction.
Nous entrons dans la file d’attente. Nous traversons le camp de base qui sert de point de départ à notre expédition dans la chaîne de l’Himalaya. Les espaces traversés sont tellement décorés que nous yeux ne savent pas où se poser. Le mélange entre véritables objets d’artisanat traditionnel et décors créés de toutes pièces par Disney, donne du charme au tout. Au détour des couloirs, nous trouvons des autels bouddhisme et des drapeaux de prières tibétains. Sur les murs sont placardés des affiches qui mettent en garde sur la présence du Yéti sur l’Everest.
Enfin nous montons à bord de notre embarcation. La première partie consiste en une promenade plutôt calme au coeur d’une végétation luxuriante. Enfin nous arrivons à un lift impressionnant, en partie dans le vide, qui nous fait grimper à près de 40 mètres de haut. La vue sur Disney’s Animal Kingdom est à couper le souffle. Nous continuons notre route dans les sommets rocheux de l’Everest. Soudain, plus de route. Nous partons en marche arrière.
Ces montagnes russes, fabriquées par Vekoma, brillent par leur immersion, leur fluidité et leur confort. Le parcours propose quelques surprises qui font qu’on se souvient de cette expérience. Pour moi, il s’agit d’une des meilleures attractions Disney, tous parcs confondus. Nous aurions adoré faire un deuxième tour, malheureusement ce fut impossible faute de temps.
Nous avons été contraints de faire l’impasse sur les autres attractions du land Asia : Kali River Rapids (une attraction de type bouées), « Feathered Friends in Flight » (un spectacle mettant en scène des oiseaux) ou encore Maharajah Jungle Trek (un parcours pédestre à la découverte d’animaux).
Prenez la pose !
Si vous aimez vous prendre en photo dans les parcs à thèmes, vous serez comblés par les opportunités offertes par Disney’s Animal Kingdom. De nombreux meet & greets sont proposés. Ces derniers changent tous les jours. Il est donc nécessaire de consulter le matin le programme du jour sur l’application Walt Disney World.
Pour ce séjour, nous avions pris un Memory Maker (équivalent de notre Photopass). Mon avis, vis-à-vis de ce service, est mitigé. Les photographes ne sont pas aussi professionnels que chez nous. J’ai l’impression que le rendement doit primer sur la qualité des clichés. Une grande partie des photos prises en extérieur – notamment celles prises au Magic Kingdom – sont soit floues, soit surexposées, soit sous-exposées. Compte tenu du prix de ce service (environ 180€), je m’attendais à mieux. Pas de critique en revanche sur les photos prises lors des meet & greets.
À noter aussi qu’un Super Zoom est proposé dans la zone Asia (un plan large dans lequel un zoom est effectué pour vous trouver).
Le Memory Maker permet aussi de récupérer les photos prises dans certaines attractions.
Disney’s Animal Kingdom : un parc à ne pas négliger
De prime abord, on pourrait penser que ce complexe, faiblement doter en coaster, est anecdotique. C’est tout le contraire. À l’instar de Tokyo DisneySea, Disney’s Animal Kingdom se démarque par l’originalité de son thème. Le parc est vaste, agréable à arpenter grâce à sa végétation luxuriante. Ses décors sont ultras immersifs. Difficile de croire que nous sommes en Floride. Même s’il ne compte que peu d’attraction, on retrouve des incontournables au premier rang desquels on retrouve Expedition Everest – Legend of the Forbidden Mountain, une masterclass sur le plan de l’immersion.
Lorsque nous avons préparé ce voyage, une question éthique s’est rapidement posée : doit-on visiter ce parc ? Quid du bien-être animal à Disney’s Animal Kingdom ? Nous avons visité en 2015 le zoo d’Ueno, au Japon. Nous y avons trouvé des animaux, tristes et déprimés, prisonniers d’enclos inappropriés. Depuis, nous nous renseignons avant de visiter un parc animalier. Nous ne visitons que des parcs soucieux du bien-être animal, comme par exemple Le Pal. Disney’s Animal Kingdom peut s’enorgueillir d’avoir eu les éloges de la célèbre éthologue et anthropologue britannique Jane Goodall. Pour elle, le parc est exemplaire quant à la qualité des soins prodigués aux animaux et l’attention apportée à leur confort.
Lors de cette première visite, nous avons été amenés à faire de nombreuses impasses. J’avoue qu’avant cette visite, nous n’avions pas perçu le potentiel de ce parc. Disney’s Animal Kingdom propose plus qu’une juxtaposition d’attractions. Il nous offre un dépaysement incroyable. Il s’agit d’un parc où il fait bon se promener, s’émerveiller devant le paysage et les animaux en semi-liberté.
En résumé, il s’agit d’un parc qu’il faut visiter en prenant son temps. Dans le tumulte que représente un voyage à Walt Disney World, Disney’s Animal Kingdom représente une bouffée d’oxygène. Je recommande fortement de consacrer deux jours à la découverte de ce parc.
Face à tant de regret, il n’y a qu’une solution : planifier un nouveau voyage à Disney’s Animal Kingdom pour découvrir les expériences que je n’ai pas pu découvrir lors de ce séjour ! L’occasion de vous reparler de ce parc où les animaux sauvages sont au détour de chaque chemin.
Combien ça coûte 💶 ? Le billet pour 5 jours à Walt Disney World nous a coûté 517€ par personne (soit 104€ la journée). Ces tickets étaient hopper, c’est-à-dire qu’à partir de 14h, nous pouvions nous rendre dans les autres parcs de la destination.
Au moment où nous avons réservé, le site de Walt Disney World proposait les mêmes réductions que les revendeurs de billet agréés (ex : https://www.undercovertourist.com/orlando/) mais, à certaines périodes, ils peuvent proposer de bons plans !